À la fin du XIXème siècle, Confessions est Le jeu en vogue en Angleterre. Il s’agit pour les questionnés de dévoiler leurs pensées, sentiments, goûts et aspirations. Marcel Proust découvre ce test alors qu’il n’est encore qu’un adolescent et le rend célèbre par les réponses qu’il y apporte. Deux siècles plus tard, Philip Gorwood se prête à ce jeu des confessions dans une version « psychiatrique » dudit questionnaire après nous avoir livré quelques éléments de son parcours cartographique et professionnel.
Et si Philip Gorwood était un nuage…
Fautes qui m’inspirent le plus d’indulgence.
Je suis très tolérant à l’urgence, l’impulsivité, les erreurs par excès de bienveillance, les maladresses par envie de bien faire, trop faire car j’en suis pétri. Les fautes liées à des tentatives d’emprise sur les autres, je supporte très mal. Quand on a de la bienveillance en médecine, qu’on est sensible et qu’on écoute le reste ne sont que des détails techniques. On connaît le solfège, on n’a qu’à apprendre la musique.